Journal de déportation
Septembre 1915, Istanbul. Un soir, on frappe à la porte : “Yervant Odian est-là ?”. Dès lors, l’implacable organisation génocidaire turque va l’entraîner sur les routes et dans les sinistres camps du désert syrien. Au sein des colonnes de déportés, il rejoint le destin de ses compatriotes arméniens, bien que se considérant presque comme un … Leer la continuación