Langue Biblio: Français
L’Oeuvre Américaine en Arménie
Conférence de Archag Tchobanian à la réunion du 30 décembre 1918 organisée par l’Union Intellectuelle Arménienne de Paris. Discours du Dicteur Herbert Adams Gibbons. Publication par les éditions Ernest Leroux à Paris en 1919. 48 pages.
L’Extermination des Chrétiens en Turquie
A la mémoire de deux millions de chrétiens victimes de la barbarie turque. 32 pages. Publié à Lausanne en 1918.
L’extermination des Chrétiens d’Orient
Faits, documents et témoignages de responsables militaires, politiques et religieux anglais et américains. 126 pages. Publié à Paris en 1922.
L’exil arménien
L’exil des Arméniens après le génocide et la question des conditions d’accueil des réfugiés dans les pays européens. Publié par la Société générale d’imprimerie en 1926. 95 pages.
L’éternelle victime de la diplomatie européenne
Recueil de textes pour que le traité de Sèvres soit respecté par les turcs. Nombreuses photos d’anciens soldats ayant servis dans l’armée française. Publié en 1929. 292 pages
L’Arménie et le peuple Arménien au point de vue artistique et littéraire
Recueil de texte sur l’art et la littérature arménienne. Publié en 1941 par Hagop Turabian. 28 pages
L’Arménie et la question Arménienne
Document écrit par la délégation de la République Arménienne. L’Arménie et la question Arménienne avant, pendant et depuis la Première Guerre mondiale. Publié par Hagop Turabian en 1922. Avec sept annexes et deux cartes hors texte. 145 pages.
L’Arménie et la Guerre
Le point de vue d’un Arménien sur la Première Guerre mondiale avec un appel à la Grande-Bretagne et à la prochaine conférence de paix. Publié par Hagop Turabian en 1918. 176 pages.
L’action Franco-Arménienne pendant la guerre
Pages et Souvenirs de quatre ans de guerre en Orient lors de la Première Guerre mondiale. Le sauvetage des arméniens du mont Moussa par l’escadre française – la légion arménienne. Publié par les éditions Ernest Leroux en 1919. 52 pages.
L’Heure de l’Arménie
Essai sur le respect du Traité de Sèvres par la Turquie. Publié en mars 1922. 61 pages. Préface de Henri La Fontaine, sénateur de Belgique
L’Europe et la jeune Turquie
Les aspects nouveaux de la question d’Orient. Contenant 2 cartes dans le texte. Publié en 1911. Librairie académique Perrin et Compagnies. 512 pages.
Midk ev Arvest – Միտք եւ արուեստ – Pensée et art
Midk ev Arvest (Միտք եւ արուեստ Pensée et Art) est le supplément mensuel du quotidien Haratch (Յառաջ En avant). La collection comprend 351 numéros sortis de presse du journal, 83 rue d’Hauteville à Paris. Le premier numéro porte la date du 5 décembre 1976, le dernier le 5 mai 2009. Il paraît généralement le premier dimanche du mois (expédition aux lecteurs le vendredi précédent). Le format demeure celui du journal, l’intitulé est imprimé à l’encre rouge ainsi que la numérotation. Les textes se développent sur quatre pages. Mais certains numéros spéciaux consacrés à des écrivains célèbres ou à des thèmes dont celui du soixante dixième anniversaire du Génocide, comprennent huit pages. Contrairement au quotidien où ils sont rarissimes, dès le départ Midk ev Arvest accueille des textes en français. Ce qui lui donne le caractère d’une publication bilingue.
Le premier numéro s’ouvre avec un texte d’Arpik Missakian, la directrice du journal, intitulé: “Ne pas reculer, résister, durer”, c’était le sens de l’entreprise éditoriale, dans un contexte difficile où le lectorat arménien se rétrécissait d’année en année. Il fallait créer un support nouveau, relativement indépendant du quotidien où il serait possible de publier aussi bien des textes de création que des articles critiques, des traductions, des études sur les écrivains étrangers, en particulier français, des entretiens aussi bien que des comptes-rendus d’événements artistiques et culturels. L’initiative avait été précédée de quelques réunions au journal dans le courant de l’année 1976, avec la participation de collaborateurs: Krikor Beledian, Zoulal Kazandjian, Haroutioun Kurkjian, Krikor Hampartzoumian, Papkên Bodossian. Malgré le souhait de Missakian, le supplément n’a jamais été dirigé par un comité de rédaction indépendant de la direction du journal. Les numéros ont été préparés tantôt par l’un, tantôt par l’autre des collaborateurs ou tout simplement à partir des contributions reçues directement par la direction de Haratch. Il y avait cependant une règle bien déterminée: ne publier que des textes inédits, ne jamais reprendre des écrits déjà connus par ailleurs et recyclés, veiller sur la nouveauté du sujet ou à la démarche engagée, afin de sortir de l’ornière des republications et des répétitions stériles. La publication de documents, des correspondances d’écrivains du passé ou d’autres pièces d’archives ne fait que confirmer cette règle.
La République d’Arménie
POSTFACE : Les années 1988-1989 voient des centaines de milliers de manifestants déferler périodiquement dans les rues de Erevan, la capitale de l’Arménie soviétique. La radicalisation du Mouvement du Haut-Karabagh qui demande le rattachement de cette région à l’Arménie a fait surgir la revendication de l’indépendance et le drapeau de l’éphémère République d’Arménie (1918-1920), libérant … Leer la continuación
La Suppression des Arméniens – Méthode allemande – Travail Turc
La doctrine allemande du pangermanisme telle que l’ont établie ses philosophes et ses apôtres militaires ou civils est assez connue pour qu’il ne soit pas nécessaire de l’analyser longuement!. Le salut de l’État étant la suprême loi, on ne saurait concevoir une opposition quelconque entre la politique et la morale. Contre le peuple prédestiné « … Leer la continuación
Témoins de Génocides Impunis – Arménie 1895-1909-1915
Cet ouvrage a été publié à Marseille en 2002, à l’initiative du fondateur de l’association Jean-Garbis Artin. Les différentes pages regroupent des témoignages et textes de différents auteurs. Ce livre est épuisé mais son contenu est consultable gratuitement en ligne.
Arménia
Le premier numéro du mensuel « Arménia » a été publié en décembre 1971. L’équipe était composée par la directrice Elisabeth Kazandjian, le rédacteur en chef André Guironnet et son adjoint Raymond Chehikian. Après une interruption, la parution recommence en novembre 1974 sous l’impulsion de Jean Hamazasp Kabriélian, Jacques Cassabalian, Colette Outouzian, Dr J. Tarpinian, Artakin Hagoian et Ohan Hékimian. Ce dernier en a été son directeur de la publication. Puis, ce magazine a été publié à Marseille de décembre 1974 à septembre 1990, soit 114 numéros.
Ohan Hékimian, né de nationalité française en 1939 dans une caserne française de Hama dans le désert syrien où son père était officier des troupes françaises -la Syrie étant un protectorat français- a reçu une éducation militaire et française. En 1946, le jeune Ohan, en compagnie de ses parents débarquera à Marseille, suivant la carrière militaire de son père Krikor. Ohan Hékimian qui fit une longue carrière d’expert-comptable (34 ans) s’est également investi dans la création du mensuel « Arménia ». Lire l’interview ci-dessous du directeur de la publication.
Pro Armenia
A partir des années 1880-1890, le mouvement arménophile ne cesse de s’amplifier à mesure que parviennent en France les échos des persécutions ottomanes exercées à l’encontre des populations arméniennes d’Anatolie. Les rapports, notes et correspondances des diplomates et attachés militaires en poste dans la région, informent l’opinion publique sur les persécutions d’Arméniens survenus en Turquie (massacres de 1894/96, et de 1909…), et la France humaniste et compatissante (parlementaires, intellectuels, journalistes, organisations humanitaires et sociales…) s’organise en un vaste mouvement de protestation.
Le développement de ce courant arménophile, “PRO ARMENIA”, doit beaucoup à Christapor Mikaëlian, Archag Tchobanian et Hovannés Loris-Melikian. Ce dernier étant notamment chargé par la FRA Dachnaktsoutioun de promouvoir le mouvement, et d’accompagner la publication de “Pro Armenia”, son support média. C’est ainsi que les parlements sont saisis, notamment en France, mais également en Italie, en Belgique, en Angleterre, aux Pays-Bas… Ils sont invités à se prononcer sur des motions réclamant une intervention en faveur des arméniens martyrisés en Anatolie. De grands meetings populaires se déroulent à Paris et dans d’autres capitales.
Haïastan
Haïastan est jusqu’à nos jours, l’organe de presse du Nor Séround (Nouvelle Génération), l’association de jeunes militants du parti Daschnak. Haïastan est né en 1939 sous l’impulsion des cadres français de la FRA à l’initiative de Hovig Eghiazarian et Armik Djamalian et avec l’encouragement particulier de Schavarch Missakian, fondateur du quotidien Haratch.
La première parution a eu lieu en janvier 1939 est s’est poursuivie durant 8 numéros pour s’interrompre en août 1939.
La Revue des Études Arméniennes
ARAM présente la totalité des numéros numérisés de la Revue des Études Arméniennes publiés de 1920 à 1993, comprenant 22 fascicules, répartis en XI tomes.
Fondée le 9 janvier 1920 par Victor Bérard, Charles Diehl, A.-Ferdinand Herold, H. Lacroix, Frédéric Macler, Antoine Meillet, Gabriel Millet, Gustave Schlumberger la première Société des Etudes Arméniennes a publié ses travaux dans la Revue des Études Arméniennes jusqu’en 1933. La première Société avait cessé d’être active lorsqu’en 1992, Claire Mouradian (CNRS) et Anaïd Donabédian (INALCO) entreprirent de créer une association vouée à réunir les chercheurs de plus en plus nombreux dans le domaine des études arméniennes. L’action de la première Société des Etudes Arméniennes a eu une postérité directe à travers la Revue des Etudes Arméniennes, aujourd’hui publiée par l’Association de la Revue des Etudes Arméniennes (lien externe).