Revue des Etudes Arméniennes – fascicule 1
Revue des Etudes Arméniennes. Tome X. Fascicule 1. Rapport sur une mission scientifique en Roumanie (juin – août 1927) Publication par la librairie orientaliste Paul Geuthner en 1930. 224 pages.
Revue des Etudes Arméniennes. Tome X. Fascicule 1. Rapport sur une mission scientifique en Roumanie (juin – août 1927) Publication par la librairie orientaliste Paul Geuthner en 1930. 224 pages.
Marseille, la Provence et les Arméniens: leurs relations historiques, commerciales depuis les croisades jusqu’à nos jours. Publication de l’Institut historique de Provence à Marseille en 1929. 80 pages
Le sort de la population arménienne de l’Empire Ottoman de la constitution Ottomane au traité de Lausanne 1908- 1923. Publication par les éditions de l’imprimerie catholique à Beyrouth en 1965. 125 pages.
Recueil des discours de Archag Tchobanian, Président de l’Union intellectuelle Arménienne de Paris, Boghos Nubar, Président de la Délégation Nationale Arménienne, et de M. Vénizélos, Président du Conseil Hellénique, prononcés au banquet donné par les Arméniens de Paris le 16 janvier 1919. Publié en 1919 à Paris. 42 pages
Conférence de Archag Tchobanian à la réunion du 30 décembre 1918 organisée par l’Union Intellectuelle Arménienne de Paris. Discours du Dicteur Herbert Adams Gibbons. Publication par les éditions Ernest Leroux à Paris en 1919. 48 pages.
Principalement issue de la déchirure des années 1915-1917, qui virent disparaître plus de 1 200 000 personnes d’origine arménienne massacrées par ordre du gouvernement ottoman, la communauté des Arméniens de France se composait de près de 70 000 membres à la veille de la Seconde Guerre mondiale. En effet, chaque réfugié savait pouvoir compter sur … Continued
C’est au début des années vingt que les Arméniens, rescapés du génocide, interdits de retour dans leur pays, deviennent une communauté inscrite dans le paysage français. Stigmatisés durant l’entre-deux-guerres comme “inassimilables”, on se plaît à les donner aujourd’hui en modèle d’intégration, du fait d’une réussite sociale dans de nombreux domaines. Dans une première partie fort … Continued
Azarya’s examination of the delicate symbiosis between the lay and monastic communities is sensitive and sociologically acute. The contrasts of the Armenian quarter shed light on the differences between types of collectives, and illustrate the ways in which people stubbornly accomplish the mingling of what seem incompatible rules for living.