L’exil arménien
Այս վաւերագիրը թուայնացուած է

L’exil des Arméniens après le génocide et la question des conditions d’accueil des réfugiés dans les pays européens. Publié par la Société générale d’imprimerie en 1926. 95 pages.

L’Arménie et la Guerre
Այս վաւերագիրը թուայնացուած է

Le point de vue d’un Arménien sur la Première Guerre mondiale avec un appel à la Grande-Bretagne et à la prochaine conférence de paix. Publié par Hagop Turabian en 1918. 176 pages.

Registre d’adhésion (1944)
Այս վաւերագիրը թուայնացուած է

Registre provenant des familles TCHADERDJIAN et TOUTOUNDJIAN de Gardanne (13). Recensement réalisé en octobre/novembre 1944 dans différentes villes du sud de la France. Transmis à l’association par Richard Antranig MINASSIAN. Aucune information ne permet de connaitre l’auteur, le rôle et la provenance de ce registre.

Midk ev Arvest – Միտք եւ արուեստ – Pensée et art

Midk ev Arvest (Միտք եւ արուեստ Pensée et Art) est le supplément mensuel du quotidien Haratch (Յառաջ En avant). La collection comprend 351 numéros sortis de presse du journal, 83 rue d’Hauteville à Paris. Le premier numéro porte la date du 5 décembre 1976, le dernier le 5 mai 2009. Il paraît généralement le premier dimanche du mois (expédition aux lecteurs le vendredi précédent). Le format demeure celui du journal, l’intitulé est imprimé à l’encre rouge ainsi que la numérotation. Les textes se développent sur quatre pages. Mais certains numéros spéciaux consacrés à des écrivains célèbres ou à des thèmes dont celui du soixante dixième anniversaire du Génocide, comprennent huit pages. Contrairement au quotidien où ils sont rarissimes, dès le départ Midk ev Arvest accueille des textes en français. Ce qui lui donne le caractère d’une publication bilingue.

Le premier numéro s’ouvre avec un texte d’Arpik Missakian, la directrice du journal, intitulé: “Ne pas reculer, résister, durer”, c’était le sens de l’entreprise éditoriale, dans un contexte difficile où le lectorat arménien se rétrécissait d’année en année. Il fallait créer un support nouveau, relativement indépendant du quotidien où il serait possible de publier aussi bien des textes de création que des articles critiques, des traductions, des études sur les écrivains étrangers, en particulier français, des entretiens aussi bien que des comptes-rendus d’événements artistiques et culturels. L’initiative avait été précédée de quelques réunions au journal dans le courant de l’année 1976, avec la participation de collaborateurs: Krikor Beledian, Zoulal Kazandjian, Haroutioun Kurkjian, Krikor Hampartzoumian, Papkên Bodossian. Malgré le souhait de Missakian, le supplément n’a jamais été dirigé par un comité de rédaction indépendant de la direction du journal. Les numéros ont été préparés tantôt par l’un, tantôt par l’autre des collaborateurs ou tout simplement à partir des contributions reçues directement par la direction de Haratch. Il y avait cependant une règle bien déterminée: ne publier que des textes inédits, ne jamais reprendre des écrits déjà connus par ailleurs et recyclés, veiller sur la nouveauté du sujet ou à la démarche engagée, afin de sortir de l’ornière des republications et des répétitions stériles. La publication de documents, des correspondances d’écrivains du passé ou d’autres pièces d’archives ne fait que confirmer cette règle.

La publication du supplément Midk ev Arvest intervenait au moment où la plupart des revues littéraires et les périodiques arméniens de France dont Andastan de Puzant Topalian avaient disparu et la presse quotidienne ne parvenait plus à se renouveler. Il fallait créer un lieu suffisamment ouvert sur le monde et les cultures environnantes pour donner une impulsion nouvelle aux écrivains issus des communautés arméniennes du Proche-Orient, seuls susceptibles d’assurer la relève de la littérature arméno-occidentale dont Haratch était le partisan le plus déterminé.

La République d’Arménie
Այս վաւերագիրը թուայնացուած է

POSTFACE : Les années 1988-1989 voient des centaines de milliers de manifestants déferler périodiquement dans les rues de Erevan, la capitale de l’Arménie soviétique. La radicalisation du Mouvement du Haut-Karabagh qui demande le rattachement de cette région à l’Arménie a fait surgir la revendication de l’indépendance et le drapeau de l’éphémère République d’Arménie (1918-1920), libérant … Շարունակութիւնը կարդալ

La Suppression des Arméniens – Méthode allemande – Travail Turc
Այս վաւերագիրը թուայնացուած է

La doctrine allemande du pangermanisme telle que l’ont établie ses philosophes et ses apôtres militaires ou civils est assez connue pour qu’il ne soit pas nécessaire de l’analyser longuement!. Le salut de l’État étant la suprême loi, on ne saurait concevoir une opposition quelconque entre la politique et la morale. Contre le peuple prédestiné « … Շարունակութիւնը կարդալ

Témoins de Génocides Impunis – Arménie 1895-1909-1915
Այս վաւերագիրը թուայնացուած է

Cet ouvrage a été publié à Marseille en 2002, à l’initiative du fondateur de l’association Jean-Garbis Artin. Les différentes pages regroupent des témoignages et textes de différents auteurs. Ce livre est épuisé mais son contenu est consultable gratuitement en ligne.

Arménia

Le premier numéro du mensuel « Arménia » a été publié en décembre 1971. L’équipe était composée par la directrice Elisabeth Kazandjian, le rédacteur en chef André Guironnet et son adjoint Raymond Chehikian. Après une interruption, la parution recommence en novembre 1974 sous l’impulsion de Jean Hamazasp Kabriélian, Jacques Cassabalian, Colette Outouzian, Dr J. Tarpinian, Artakin Hagoian et Ohan Hékimian. Ce dernier en a été son directeur de la publication. Puis, ce magazine a été publié à Marseille de décembre 1974 à septembre 1990, soit 114 numéros.

Ohan Hékimian, né de nationalité française en 1939 dans une caserne française de Hama dans le désert syrien où son père était officier des troupes françaises -la Syrie étant un protectorat français- a reçu une éducation militaire et française. En 1946, le jeune Ohan, en compagnie de ses parents débarquera à Marseille, suivant la carrière militaire de son père Krikor. Ohan Hékimian qui fit une longue carrière d’expert-comptable (34 ans) s’est également investi dans la création du mensuel « Arménia ». Lire l’interview ci-dessous du directeur de la publication.

La mémoire est-elle soluble dans le droit ? Des incertitudes nées de la décision n°2012-647 DC du Conseil constitutionnel français

http://droitcultures.revues.org/3135 Contrairement à ce que l’on a pu lire, le débat français sur les lois dites mémorielles n’est pas clos. Pour preuve, le nombre de commentaires suscités par le dernier épisode d’un feuilleton qui divise l’opinion depuis une décennie : la censure, par le Conseil constitutionnel, de la loi Boyer de 2011 visant à réprimer … Շարունակութիւնը կարդալ