Extrait : 

(…) Quel est donc le tréfonds de la mentalité turque ? Les Turcs ne peuvent rien faire par euxmêmes; ils sont restés un peuple nomade malgré leur séjour plusieurs fois séculaire dans les villes.

On chercherait vainement à nommer une seule cité importante qui ait été construite par eux. Ils font travailler les autres ; ils leur laissent même, au début, une certaine latitude ; puis, lorsque la prospérité commence à couronner l’effort du travailleur, lorsque le Turc estime que le giaour risque de devenir un danger pour lui, il fomente une révolte et le massacre des révoltés s’en suit fatalement.

C’est en vertu de ce principe, de cet esprit d’organisation, que les massacres n’ont jamais eu lieu aux mêmes endroits ; on procède par coupes réglées, on n’abat pas en une fois tous les arbres de la forêt ; on y met de la méthode; mais au bout d’un temps fixé, les arbres auront tous été sûrement abattus. Cette façon de procéder est d’une application plutôt difficile dans des centres importants comme Constantinople ou Smyrne, c’est la tactique courante à l’intérieur du pays.

Տեղեկութիւններ գիրքին մասին.–

Տարի 1917
Էջերու թիւը 328
Հրատարակիչ Librairie E.NOURY
Հրատարակուած քաղաքը Paris
Հրատարակութիւն originale
Colume-ի տեսակը broché
Բանալի բառեր
Լեզուներ
  • Français

Հեղինակներ.–

MACLER Frédéric Frédéric Macler, né le 16 mai 1869 à Montdoré dans la Haute-Saône et décédé le 12 juillet 1938 à Montbéliard dans le Doubs, est un...