Histoire du secours suisse en faveur des Arméniens. Service auprès d’un peuple chrétien. Traduit de l’allemand par Jean Tépélian. La version allemande a été éditée par les Editions de la Croix-Bleue, Berne, 1974. Édition française par M. Pascal Nigoghossian-Nicolan, Villeurbanne, 1986. 343 pages.
« Voici le récit d’un Arménien. Un parmi d’autres qui a échappé à l’effroyable génocide de 1915 perpétré par les Turcs. » Paris, 1983. Imprimé au Liban. 58 pages.
Une histoire vraie. Publication par les éditions Spes, à Lausanne en 1918. 203 pages
Du devoir d’accueillir les réfugiés arméniens. Genève Juin 1921. 28 pages.
Témoignages inédits sur les atrocités turques commises en Arménie suivi d’un récit de l’épopée arménienne de Chabin Karahissar recueillis par la société des dames arméniennes (Azkanever de Constantinople). Imp. Dubreuil, Frèrebeau et Cie . Paru à Paris en 1920. 79 pages.
Récit de l’abandon du sandjak d’Alexandrette par la France à la Turquie et l’exil de la population arménienne qui suivit. Parution aux éditions Baudinière en 1938. 204 pages.
La fortune de l’Arménien. Bande dessinée et texte racontant les persécutions des arméniens et l’exil. Publication dans le numéro 235 du journal « Les histoires en images », le 4 juin 1925 à Paris. 4 pages.
Article intitulé « Echappés au martyre de l’Arménie » illustré de nombreuses photos. Publication dans la revue « Lecture pour tous » le 15 août 1917
L’exil des Arméniens après le génocide et la question des conditions d’accueil des réfugiés dans les pays européens. Publié par la Société générale d’imprimerie en 1926. 95 pages.
« Que ceux qui vivront après nous assurent notre vengeance. » Pour mon père, qui était la bonté même, ce mot de vengeance avait une résonance tragique. Ce mot éveillait le paroxysme d’une douleur qui s’associait à une injustice criante, à une impuissance totale. Il devenait victime d’ignorance, d’imbécillité, de cruauté additionnées. La vengeance : elle s’exerce … Lire la suite
Destins divers pour des réfugiés arméniens : Des rives de l’Araxe à la Bretagne via la Canebière. Retour vers la Mère Patrie en 1936 ou mobilisation générale en 1939.
